La Nouvelle République pulie un second article au mois de septembre sur l’une des spécialités d’ATER : la recherche de titulaires de comptes bancaires inactifs et bénéficiaires de contrats d’assurance vie.
Le marché de la déshérence est en pleine expansion ces dernières années suite à la promulgation et la mise en application de la loi Eckert en 2014.
ATER traite 2 500 à 3 000 dossiers par mois.
” Leur spécialité : mettre une adresse, un numéro de téléphone et un visage sur un nom. En clair, retrouver la trace des personnes disparues du radar des banques ou des compagnies d’assurance. “